Assurances ATLANTA, nouveau partenaire de la FME

La fondation Marocaine de l’Etudiant a signé une convention de partenariat avec ATLANTA qui s’est engagée à soutenir l’action de la FME par la prise en charge de 10 étudiants boursiers de la fondation.

 

A travers ce partenariat, Atlanta s’engage à octroyer des bourses de vie au profit de ces 10 étudiants tout au long de leurs études universitaires et à leur assurer un encadrement humain et pédagogique via ses cadres supérieurs et dirigeants. ATLANTA offrira également aux boursiers de la FME la possibilité d’effectuer des stages de formation.

Deloitte Nearshore appui l’action de la Fondation Marocaine de l’Etudiant

La Fondation Marocaine de l’Etudiant a signé dernièrement une convention avec Deloitte Nearshore qui s’est engagée à octroyer des bourses de mérite au profit de cinq étudiants boursiers de la FME pour les encourager à poursuivre leurs études supérieures et pour favoriser la création d’un environnement idoine à leur épanouissement académique et professionnel.

Ce partenariat  met en exergue une véritable implication de deloitte nearshore  dans l’encadrement humain et pédagogique des boursiers de la Fondation Marocaine de l’Etudiant.  Ainsi, les cadres dirigeants  et cadre supérieurs de Deloitte Nearshore se proposent d’assurer le rôle de « Mentor » pour des boursiers et offrir écoute, conseils et orientation ainsi qu’une facilitation d’une immersion dans le monde de l’entreprise.  Deloitte Nearshore offrira également aux boursiers de la FME la possibilité d’effectuer des stages de formation.

Le Matin Emploi du 13 mai 2013

Pour une meilleure insertion dans le marché du travail

Améliorer l’employabilité de ses étudiants boursiers grâce à un accompagnement personnalisé, tel est le principal axe de la convention signée par la Fondation marocaine de l’étudiant (FME) et le portail Stagiaires.ma. Ce partenariat permettra à l’ensemble des boursiers de la FME d’accéder aux services premium fournis par Stagiaires.ma et renforcer ainsi leurs chances de recrutement.

Stagiaires

La visibilité des étudiants boursiers est notamment renforcée grâce à un meilleur référencement dans la CVthèque.
Cette démarche adoptée par la FME s’inscrit dans le cadre de la stratégie tracée par le conseil d’administration de l’association, «Notre leitmotiv reste l’amélioration de notre offre de valeurs pour nos boursiers, surtout sur les aspects liés à l’amélioration de leur employabilité. Grâce  ce partenariat, nos boursiers pourront avec, notre aide et notre encadrement d’une part, et l’apport technologique de Stagiaires.ma d’autre part, mieux appréhender leur recherche de stages», déclare Hamid Ben Elafdil, président de la FME. Pour sa part, Youssef El Hammal, directeur fondateur de Stagiaires.ma, a expliqué que son équipe est mobilisée afin de mieux répondre aux attentes des boursiers de la fondation dans leur quête de stage et d’emploi, «c’est notre contribution citoyenne de jeune start-up qui, elle aussi, a pu bénéficier d’accompagnement et de soutien de la part de philanthropes» affirme-t-il.
A noter que la FME, créée en 2001, s’est fixée pour mission de permettre aux bacheliers les plus brillants issus des établissements de protection sociale du Maroc de poursuivre des études correspondant à leur niveau académique dans des établissements supérieurs et professionnels privés et/ou publics d’excellence et les accompagner jusqu’à leur insertion professionnelle.

Journée Internationale de la femme : L’approche genre adoptée par la Fondation Marocaine de l’Etudiant a permis d’atteindre la parité

  • A l’occasion de la journée Mondiale de la femme, la Fondation rend hommage à ses jeunes boursières pour leur persévérance et leur excellence.
  • Prés de la moitié des bénéficiaires de la Fondation Marocaine en cours de formation  sont des filles
  • Une politique volontariste pour atteindre la parité
  • Un projet de Résidence universitaire pour jeune fille en préparation.

En cette journée de la femme, la Fondation Marocaine de l’Etudiant souhaiterait rendre hommage à l’ensemble de ses 189 jeunes filles sur les 454 ayant bénéficié à ce jour de la bourse de la Fondation Marocaine.

Par leur niveau d’excellence et leur persévérance, elles ont toutes pu décrocher la Bourse de la Fondation Marocaine de l’Etudiant et des inscriptions dans les meilleurs établissements publics et privés d’enseignement supérieur.  53 d’entre elles ont décroché leurs diplômes et occupent actuellement des postes dans différents niveaux de responsabilités dans des entreprises privées.

Consciente des difficultés supplémentaires auxquels font face les jeunes filles tout au long de leurs parcours scolaire et universitaire, la Fondation Marocaine de l’Etudiant a toujours essayé d’adopter une approche visant à atteindre  la parité au niveau de la représentation des jeunes filles.  Ainsi, au niveau des candidatures de nouveaux boursiers, la FME a adopté depuis 2010 un politique de discrimination positive à l’égare des jeunes bachelières, ce qui a permis d’améliorer sensiblement le nombre de jeunes filles bénéficiant de la bourse de la FME en 2010 (33%) et en 2011 (51%) et en 2012 à 58%.

Dans la même logique, la Fondation marocaine de l’Etudiant déploie des efforts supplémentaires pour améliorer les conditions d’accueil des boursières dans les villes où elles poursuivent leurs études. Ainsi, 50% des boursières de la FME (90% à Casablanca) bénéficient, directement ou indirectement de solutions de logements étudiants. La Fondation est actuellement entrain de finaliser le projet de construction d’une résidence universitaire à Casablanca pour améliorer la capacité et les condition d’accueille des jeunes boursière dans la métropole.

« Nos boursières, autant que nos boursiers d’ailleurs, nous rendent très fiers de ce que nous accomplissons à la Fondation avec nos partenaires. Elles sont très studieuses et font preuve d’un sérieux exemplaire » explique Hamid Ben Elafdil, président de la Fondation qui rajoute : « nous faisons un efforts supplémentaires au niveaux du recrutement et des conditions d’accueil de ces jeunes filles, car il n’est pas évident pour elles et leurs famille d’envisager d’aller poursuivre des études parfois très loin de leurs familles pour leur donner toutes les chances de faire des études qui conviennent à leur excellence académique et leurs ambitions ».

Le Soir Echo, le 6 mars 2013

« Le conseil d’administration a fixé le cap de 1 000 boursiers d’ici 2018?»

Créée en 2001, la Fondation marocaine de l’Etudiant (FME) octroie depuis 12 ans des bourses d’études aux élèves issus de milieux défavorisés. A combien s’élève le nombre de bénéficiaires ? Quels sont les critères d’attribution de ces bourses ? Qu’en est-il de leur insertion professionnelle ? Entretien avec le président de la FME, Hamid Ben Elafdil.

La FME est passée de 1 boursier en 2001 à 450 en 2012.

La FME est passée de 1 boursier en 2001 à 450 en 2012.

La Fondation marocaine de l’Etudiant (FME) a organisé le 26 février à El Jadida, une cérémonie pour honorer sa douzième promotion de boursiers. Peut-on avoir une idée sur le nombre de bacheliers qui ont bénéficié des bourses de formation depuis la création de la Fondation ?
Ils étaient 108 nouveaux bacheliers réunis à El Jadida pour recevoir leurs nouveaux PC, financés entre autres par la généreuse contribution de la Fondation Mohammed V pour la Solidarité.  Ils rejoignent les 346 autres boursiers qui ont bénéficié de l’accompagnement de notre Fondation. 454 boursiers en 12 ans, dont 160 sont diplômés.

Hamid Ben Elafdil.

Hamid Ben Elafdil.

Quels sont les critères d’attribution de ces bourses ?
La population de base à laquelle s’adresse notre programme est exclusivement composée de jeunes filles et de jeunes hommes pensionnaires des EPS. Ensuite, chacun d’entre eux doit faire acte de candidature pour le programme.  A partir de là, ce sont des critères d’excellence académique, de motivation, de sérieux et d’ambition qui nous permettent de faire la différence entre les candidatures. Nous avons introduit également une discrimination positive à l’égard des jeunes filles et des orphelins.

Vous collaborez avec combien d’établissements de protection sociale (EPS) dans ce sens ?
A ma connaissance il existe plus de 900  EPS (orphelinats, Dar Al Aytam, Dar Al Atfal, Dar Taliba, Dar Talib…) à travers tout le Maroc. Ces établissements sont sous la tutelle de l’Entraide Nationale. Ces établissements permettent à des élèves de milieux défavorisés de poursuivre leurs scolarités dans des conditions dignes. Notre travail  vient en continuité de cette mission noble et difficile à accomlir puisque tous nos candidats sont exclusivement choisis parmi les plus brillants des lauréats de ces EPS. La majorité de ces lauréats a parfaitement intégré le marché du travail.

Justement, quelles sont les stratégies mises en place pour faciliter leur insertion professionnelle ?
Notre souci est d’outiller ces jeunes étudiants de manière convenable pour faire face aux exigences du marché du travail. Pour cela nous nous reposons sur des partenariats, notamment avec EFE Maroc (Education for Employement Maroc ) et HAMAC (Haute académie marocaine de coaching). La Fondation est également en train de développer un programme de soutien linguistique en français et en anglais , que nous espérons généraliser à l’ensemble des boursiers. Le noyau de notre accompagnement reste toutefois notre programme de Mentoring auquel prennent part plus de 200 cadres supérieurs et chefs d’entreprises bénévoles qui assurent, individuellement, un accompagnement personnalisé des boursiers, en consacrant du temps, en ouvrant leur carnets d’adresses et en donnant des conseils aux boursiers dont ils assurent le parrainage. Je profite de cette occasion pour lancer un appel à ceux qui veulent, en consacrant à peine 2 heures par mois au maximum, contribuer de manière significative au succès des projets professionnels de nos boursiers.

Vous organisez du 16 février au 27 avril la deuxième édition de la « Caravane projet de vie » dans plusieurs régions du Maroc. Quels sont les objectifs de cette tournée ?
Effectivement, des bénévoles accompagnés par le personnel de notre fondation iront à la rencontre des futurs bacheliers issus de ces  établissements pour les éclairer sur les différentes possibilités qui s’offrent à eux une fois le précieux diplôme en poche. Nous en profitons aussi pour les informer sur l’existence de nos programmes de bourse et les possibilités pour en bénéficier, motivant ainsi les plus studieux d’entre eux. D’ici fin avril, nous espérons toucher environ 1 500 futurs bacheliers, soit 50% de plus que lors de notre campagne 2012.

Assurer des bourses d’étude et une insertion professionnelle aux bacheliers n’est pas chose aisée. Rencontrez-vous souvent des difficultés notamment dans le cadre du financement de vos programmes ?
Nos partenaires ont toujours cru à notre projet, ce qui a permis à la Fondation de passer de 1 boursier en 2001 à 454 en 2012. Les premiers de ces partenaires sont les patrons et les actionnaires des établissements d’enseignement supérieur et professionnel privés qui accueillent et forment grâcieusement nos boursiers. Nous pouvons aujourd’hui compter sur un réseau de partenaires publics et privés prestigieux qui nous accompagnent sur la durée. Nous avons toujours mis la transparence et le professionnalisme au cœur de nos préoccupations, ce qui nous a valu cette confiance tout au long de notre existance.  Notre plan de développement reste toutefois très ambitieux et sa réalisation nécessite forcement l’adhésion d’un nombre plus important de mécènes et d’entreprises citoyennes.  Pour vous donner une idée, accompagner les étudiants actuellement en formation nécessitera une enveloppe d’environ 15 millions de dirhams sur les 5 prochaines années, auxquels il faudra rajouter un effort supplémentaire d’environs 50 millions de dirhams que nous demandons à nos partenaires pédagogiques. Pour chaque promotion de nouveaux boursiers, nous devrons mobiliser prés de 8 millions de dirhams et solliciter un effort colossal des Ecoles partenaires.

Aujourd’hui quelles sont les principales ambitions de la Fondation??
En 2010, Le conseil d’administration a fixé le cap de 1 000 boursiers d’ici 2018, tout en insistant sur la nécessité d’un effort de recrutement supplémentaire qui doit s’accompagner d’une amélioration significative de l’offre d’accompagnement financier, pédagogique et humain.  Outre, notre souci permanent de développer et de pérenniser nos sources de financement, la Fondation a aussi entamé un chantier structurel pour le renforcement de notre encadrement de manière à être plus proche et plus à l’écoute de nos boursiers et de leurs besoins. Enfin, nous travaillons sur le chantier d’institutionnalisation de la Fondation, avec le renforcement de nos structures de gouvernance et de transparence.

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Le Matin du 4 mars 2013

Hamid Ben Elafdil, président de la Fondation marocaine de l’étudiant «Nous avons doublé nos efforts de recrutement durant les trois années écoulées»

Vous fêtez la 12e promotion des boursiers de la FME, pouvez-vous dresser votre bilan d’action ?
Durant ces douze années, nous avons essayé d’apporter une solution structurelle pour faire fonctionner l’assesseur social pour  des jeunes filles et de jeunes garçons méritants issus de milieux défavorisé. Aujourd’hui, plus de 450 jeunes bacheliers méritants issus des établissements de protection sociale du Royaume on pu faire les études qui correspondent à leurs ambitions et leur potentiel.
160 de nos boursiers ont obtenus leurs diplômes et sont aujourd’hui dans leur majorité parfaitement insérés dans le monde de l’entreprise.  Les étudiants encore en formation (Plus de 280) font preuve d’une excellence académique qui fait souvent d’eux des locomotives pour leurs classes.
Nous avons doublé nos efforts de recrutement durant les trois années écoulées. Ainsi pour la seule promotion 2012, nous avons sélectionné 108 boursiers. Sur le plan de la gouvernance, nous avons continué à renforcer notre transparence et notre professionnalisme. Notre dernière assemblée générale a adopté de nouveaux statuts de manière à renforcer nos structures de bonne gouvernance. En termes de partenariats, nous continuons à diversifier nos sources de financements et à les augmenter afin de mobiliser les ressources nécessaires pour  l’ambitieux programme de développement que nous portons au sein de la Fondation. A ce titre, nous sommes fiers de pouvoir compter parmi nos partenaires, la Fondation Mohammed V pour la Solidarité. Cette confiance nous conforte dans la pertinence de nos projets et nous motive pour fournir d’avantage d’efforts tant sur le plan du développement de notre activité que du renforcement des règles de transparence et de bonne gestion.

Comment vous organisez l’accompagnement des étudiants ?
La FME a réussi à construire autour d’elle une merveilleuse chaine de solidarité  pour promouvoir la culture de l’excellence : Il y a tout d’abord les écoles privées  partenaires, et elles sont nombreuses à être généreuses,  qui contribuent avec des places pédagogiques mises à la disposition de la Fondation pour ses boursiers.   Il y a aussi tous nos partenaires institutionnels, dont l’Etat à travers le Pôle Social, les  Entreprises donatrices et donateurs particuliers qui permettent de financer les bourses de vie versées  aux étudiants. Il y a également notre réseau de cadres et chefs d’entreprise, qui en jouant le rôle de Mentors des boursiers, assurent l’accompagnement humain de proximité. Il y a aussi beaucoup de partenaires (médecins, écoles de langues, et autres prestataires de services) qui apportent leurs contributions …  Les membres et le conseil d’administration que je préside animent  cette chaine de solidarité grâce à une équipe permanente dédiée.

Quels sont vos axes de développement?
Notre objectif est d’attendre 1 000 boursiers à horizon 2018, tout en améliorant de manière substantielle notre offre de valeur pour ces boursiers. Chaque année, nous prenons en charges plus de boursiers, mais nous continuons à enrichir les services que nous pouvons leur apporter : équipent informatique, cours de soutien en Français, Coaching professionnel, Cours de langues, séminaire de développement personnel, soins de santé, solution d’hébergement…  Notre soucis et de pouvoir leur permettre d’évoluer dans un environnement idoine pour qu’ils libèrent leurs potentialités er réussissent leur projets professionnel et personnel.

Vous venez de lancer la deuxième édition de la «Caravane projet de vie», pouvez-vous nous présenter cet événement ?
L’idée de la Caravane est née du constat que nous avons fait auprès des futurs bacheliers issus de EPS qui ignoraient totalement ce qui les attendait une fois leur baccalauréat en poche… Avec nos partenaires de l’Entraide Nationale et l’aide des délégations de l’Education Nationale et un financement de la Fondation OCP, nous organisons donc un Road Show national pour apporter aux futurs bacheliers, toute l’information et l’orientation par des orienteurs professionnels.  Nous présentons également notre programme de Bourse afin de motiver les plus studieux d’entre eux. En 2012, nous avons  en onze étapes touchées plus de 1 000 futurs bacheliers. Cette année, nous espérons toucher prés de 2 000 élèves à la fin de cette Caravane.

Interview publiée edition du 4 mars 2013 du journal “Le Matin” / Supplément Emploi

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www.eljadida24.com 26 février 2012

Bassima Hakkaoui, ministre du Développement social, de la femme et de la solidarité, a présidé, en compagnie de Mouâd Jamî, gouverneur de la province d’El Jadida, au club des œuvres sociales de l’ONE à Sidi Bouzid, la remise de dons offerts par la Fondation marocaine de l’étudiant, sous forme de PC portables au profit de 102 bacheliers méritants de l’année dernière, issus des établissements de protection sociale du Royaume , et un lot de livres à la maison de l’étudiant d’El Jadida. 

 

Son président, Hamid Ben Elafdil, dans son allocution d’accueil et après avoir remercié madame la ministre pour son amabilité d’avoir répondu à l’invitation en un jour de repos, a précisé que l’aventure de la Fondation Marocaine de l’Etudiant, créée en 2001, était une œuvre collective de femmes et d’hommes de notre pays qui croient en l’ascension sociale par la formation. Beaucoup d’entre nous avaient profité de cet ascenseur social quand il fonctionnait dans notre pays. Elle s’est fixée pour mission, a- t- il poursuivi, de permettre aux bacheliers les plus brillants, issus des établissements de protection sociale du Maroc, de poursuivre des études correspondant à leur niveau académique dans des établissements supérieurs et professionnels privés et/ou publics d’excellence et de  les accompagner jusqu’à leur insertion professionnelle tout en garantissantà chacun d’entre eux, une inscription dans un établissement public à accès régulé ou dans l’un des meilleurs établissements privés d’enseignement ou de formation professionnelle de notre pays, une bourse de vie lui permettant d’avoir les conditions nécessaires au bon déroulement de ses études (logement collectif d’étudiants, nourriture, transport …), un accompagnement par un cadre supérieur ou un chef d’entreprise, durant toutes ces études  jusqu’à son insertion dans le monde professionnel grâce, notamment, à une communauté de plus de 160 parrains et marraines, un renforcement de ses capacités linguistiques et de communication avec la mise en place de formations spécifiques et une assistance médicale en cas de besoin ou en cas d’urgence grâce à des médecins membres de l’association. En 10 années, a- t- il déclaré, la fondation a accompagné 346 étudiants, issus des établissements de protection sociale, en leur assurant des études en ingénierie, en finance ou en marketing et vente et une insertion active dans la société. 80%, des 133 diplômés, bénéficient, aujourd’hui, d’une situation professionnelle stable. Comme elle a pu mobiliser, durant cette même période, un écosystème composé de 70 établissements d’enseignement supérieur privés qui offrent des bourses académiques aux boursiers, 160 cadres et dirigeants qui assument le rôle de mentors en leur prodiguant écoutes et conseils tout en leur ouvrant leurs réseaux, 100 entreprises, institutions et particuliers qui ont, généreusement, permis à la fondation d’assurer une bourse de vie et un accompagnement régulier aux boursiers, 25 administrateurs  qui se mobilisent régulièrement pour leur permettre d’avoir les meilleures conditions possibles pour la réussite scolaire et professionnelle et 4 collaborateurs salariés de la fondation qui leur apportent encadrements et orientations.

Madame la ministre, tout en faisant les éloges de cette fondation citoyenne, s’est déclarée heureuse de cette opportunité relationnelle pour prouver notre adhésion totale à de telles initiatives au profit d’une souche sociale infortunée que nous ne considérons point une aumône, mais un droit que nous restituons. L’opération de solidarité vise le rétablissement d’une justice sociale permettant un équilibrage au sein de notre société comme le prônent notre religion et les valeurs islamiques. Notre Roi en donne un exemple édifiant, a- t- elle précisé. Après avoir remercié vivement le gouverneur de la province pour son soutien inconditionnel, dans le cadre de l’INDH, aux maisons de l’étudiant et l’étudiante de la région, elle a reconnu que le gouvernement, à lui seul, ne pourrait pallier aux lacunes sociales. La contribution de la société civile est importante. Par ailleurs, elle s’est estimée réjouie devant des élèves doués et volontaires malgré leur situation sociale précaire. “Cette volonté vous animant, en s’adressant à eux, prouve que le Maroc se porte bien. C’est un indicateur très significatif” Enfin, elle a mis en exergue le rôle très fructueux des établissements de protection pour avoir approcher l’école des filles et des garçons habitant loin des milieux urbains.

De son côté, le gouverneur a explicité que le fait d’appartenir à une famille nécessiteuse ne saurait être ni une honte ni constituer pour vous un complexe d’infériorité. Bien au contraire, cela devrait représenter un stimulant “car de nombreux commis d’Etat de notre pays ont vécu votre situation” a conclu le gouverneur.

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Le Matin – Décembre 2012

Article paru le 1er décembre 2012 à l’occasion de la tenue de l’assemblée générale de la Fondation Marocaine de l’Etudiant

 

La Vie Eco 28 septembre 2012

La Fondation marocaine de l’étudiant s’entoure de coachs

La Fondation marocaine de l’étudiant (FME) et le cabinet BMH Coach ont signé récemment une convention de partenariat qui prévoit, dès la rentrée universitaire 2012/2013, de permettre aux boursiers de la Fondation marocaine de l’étudiant de bénéficier d’un accompagnement par les coachs professionnels certifiés lauréats de la Haute académie marocaine du coaching (HamaC©).

 

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